Comme à chaque Aïd El Adha, les marchés informels d’ovins pullulent un peu partout à travers les localités et quartiers de la capitale et dans d’autres wilayas sans que les autorités concernées lèvent le petit doigt. Les familles algériennes se retrouvent ainsi contraintes – comme à l’accoutumée – à débourser énormément dans ces « marchés » pour se payer « le bélier ». Il n’en demeure pas moins que la...........