N E W S !!!

avec tout l'argent qu'ils ont ils peuvent tout se permettre .

nadia009 a écrit:

avec tout l'argent qu'ils ont ils peuvent tout se permettre .

Bien dit
tellement 3andhoum drahem ydirou wach y7abou

ben hna rahoum ycopiyiwwwwww ....
darouha deja f skype ..... francheent c du n importe koi car copiyawha 3la hadik l emission les kanet tjouzz f Europe2TV nssite wessemha...
d ailleur bla maness7a9ou had les trucs temregue li yekdeb ou non lol

personne ne va parler par telephone surtout les menteurs

nadia009 a écrit:

Un opératuer de téléphonie mobile propose aux sud-Coréens de mesurer secrètement l'amour de leurs bien-aimés en analysant leurs voix. Le service "Love Detector" (détecteur d'amour) de l'opérateur mobile KTF utilise une technologie qui ,selon lui, interprète les modulations de la voix pour révéler si l'interlocuteur parle avec franchise et affection. "Nous avons mis au point ce service parce que nous pensons que beaucoup de gens veulent savoir ce que les autres pensent d'eux", a déclaré un responsable de KTF,Ahn Heejung. Lors d'une conversation,"une échelle de l'amour" s'affiche sur le combiné et l'utilisateur reçoit par sms ensuite une "analyse" qui révèle le degré d'affection,de surprise,de concentration et de franchise de l'interlocuteur. Le service est facturé 1.500 Wons (ENVIRON 11 dh)par mois pour un accès illimité.

cool on va enfin débusquer les vrais menteurs ceux qui ne pensent qu'a une seule chose vous le savez bien les filles

M Freud a écrit:

cool on va enfin débusquer les vrais menteurs ceux qui ne pensent qu'a une seule chose vous le savez bien les filles

Paaaaaaaaaaa el Code el wa3er

Qu'est ce qu'un connard ???
voilà:
http://fr.news.yahoo.com/afp/20080216/tod-emirats-insolite-7f81b96_1.html

Le Syndicat algérien des paramédicaux (SAP) a réussi le tour de force de mobiliser plus de 90% du personnel du paramédical sur l'ensemble du territoire national, a indiqué le secrétaire général de ce syndicat, Lounis Ghachi, hier, dans un point de presse à l'hôpital Mustapha Bacha à Alger. Le personnel paramédical de cet hôpital observait, badge portant l'inscription «En grève» suspendu à la poitrine, un arrêt de travail auquel a appelé leur syndicat. A la placette centrale de l'hôpital ou s'étaient regroupés les grévistes, essentiellement des femmes, le secrétaire national du syndicat, accompagné du SG de la section syndicale, Ali Djarrah, indiquera que «la grève à laquelle a appelé le syndicat national ne va pas s'arrêter avant le 20 février». Il précisera que «même si la tutelle nous appelle à la table des négociations, nous continuerons notre grève».

Position partagée par l'ensemble des paramédicaux qui, satisfaits de cette première grève à l'échelle nationale, entendent maintenir une pression sur la tutelle pour faire aboutir leurs revendications. Pour rappel, les paramédicaux, dont le préavis de grève a été déposé il y a 10 jours, revendiquent un statut particulier qui prendrait en considération certains droits qu'ils considèrent comme «garantis», tel le droit au transport, à la restauration et à de meilleures conditions de travail. Il est a noter que le statut élaboré par le syndicat et la tutelle en décembre dernier a été envoyé aux administrations des hôpitaux pour application, sans prendre en considération les propositions avancées par la corporation, a rappelé le président de la commission d'élaboration du projet du statut des paramédicaux du SAP, Kamal Touri, qui trouve qu'un tel procédé créera une situation pour le moins inconvenante, puisqu'«il est demandé à l'administration de l'hôpital d'appliquer la nouvelle grille des salaires sur la base d'un statut qui est loin de consacrer nos droits». Même si la tutelle affirme qu'il s'agit d'une mesure provisoire, «le syndicat a peur du provisoire qui dure», indique un gréviste, qui ajoute que son salaire, après 26 ans de travail, ne «dépasse guère les 22.000 DA». Ce TS de la santé indiquera, à titre d'exemple, que le personnel du service dentaire de l'hôpital est obligé parfois de cotiser pour l'achat de certains produits qui manquent pour soigner les patients.

Outre le statut, la question de la grille des salaires est mise en avant par le syndicat, qui refuse son application comme il l'entend, arguant que cela ne peut se faire sans tenir compte d'un statut particulier «digne de cette profession». Le syndicat a qualifié de «précipitée» l'attitude de la tutelle qui veut «mettre la charrue avant les boeufs». C'est un peu «la goutte qui a fait déborder le vase» et qui a mis en colère les paramédicaux, explique le SG du SAP.

Les paramédicaux revendiquent également un régime indemnitaire qui encouragerait la profession par des primes conséquentes, notamment une prime de contagion, une prime d'intéressement et l'augmentation de la prime de performance. Dans ce cadre, ils proposent que la formation actuelle des paramédicaux les fasse bénéficier des mêmes droits et avantages que ceux garantis par le système LMD, une réforme nécessaire à une médecine performante, selon eux. Concernant le recours à une grève illimitée, le syndicat exclut cette éventualité, en disant qu'il optera pour le moment pour des grèves cycliques, si les portes des négociations restent fermées.

Par ailleurs, à Constantine, le centre hospitalo-universitaire Abdelhamid Benbadis et son important effectif de paramédicaux, culminant à près de 1.500 employés, toutes spécialités confondues, a joué hier parfaitement son rôle de catalyseur, en répondant massivement au mot d'ordre de grève lancé par le SAP, un syndicat fortement implanté dans la majorité des structures de santé de la wilaya.

Au premier jour de cette grève, le CHU a été en tout cas le point de ralliement des paramédicaux qui y ont organisé, dans la matinée, une marche à l'intérieur de cet établissement, très suivie par des troupes décidées à faire entendre leurs voix jusque sous les fenêtres de la direction.

Un lieu symbolique où le secrétaire général de la section syndicale du CHU, et membre du conseil national du SAP, M.Djemam, a déroulé le long inventaire des revendications du SAP, dénonçant «la précipitation des pouvoirs publics à vouloir appliquer une grille des salaires pourtant remise en cause et sans tenir compte du statut particulier en gestation, le régime indemnitaire, etc.».

Sur le front des statistiques, largement corroborées par des constatations faites sur place, au niveau de certaines structures comme l'EHS de cardiologie Erriad, de la clinique rénale de Daksi, aux hôpitaux de Zighoud Youcef, Hamma Bouziane, Ibn Ziad, c'est un taux de suivi de 100% des effectifs qui était hier revendiqué par la coordinatrice du mouvement de grève à Constantine, étant entendu que le service minimum a été partout assuré, notamment du côté de certaines structures comme la maternité, la radiologie ou la radiothérapie. Si le calme a prévalu à Constantine au sein des troupes des paramédicaux en grève, une colère contenue s'est exprimée dans les déclarations à la presse des travailleurs et de leurs représentants syndicaux, particulièrement remontés contre le ministre de la Santé pour «son manque de disponibilité à ouvrir le dialogue et globalement tout le processus décisionnel unilatéral».

A Oran, au contraire, la grève nationale des paramédicaux a été relativement suivie dans certains établissements sanitaires de la wilaya, alors que dans d'autres comme au CHU d'Oran, les paramédicaux ont peu adhéré à ce mouvement de contestation. «Le taux de suivi de la grève a été de 50% lors de cette première journée à Oran». Dans certains établissements sanitaires comme dans la clinique d'ophtalmologie de Front-de-mer, à l'EHS de pédiatrie de Canastel ou dans la clinique Hammou Boutlélis (ex-Cougnot), le mouvement de grève a été suivi massivement avec des taux avoisinant les 80%», avance la coordinatrice de la wilaya d'Oran de ce syndicat autonome. Interrogée sur les plaintes de malades qui avaient affirmé que leurs rendez-vous prévus initialement pour la matinée d'hier avaient été reportés à des dates ultérieures, notamment dans la clinique Hammou Boutlélis à cause du mouvement de débrayage, notre interlocutrice a assuré que le service minimum a été respecté au niveau de tous les établissements sanitaires d'Oran. «Les rendez-vous de ces malades ont été effectivement reportés à la semaine prochaine, non pas en raison de la grève mais tout simplement à cause d'une panne de la lampe à fente nécessaire pour la consultation», confie notre interlocutrice.

Concernant le suivi relatif du mouvement de contestation dans certains établissements hospitaliers d'Oran, des représentants de paramédicaux du CHU d'Oran rencontrés ont énergiquement dénoncé une «absence de consultation de la base» par la direction nationale de ce syndicat autonome. «Il n'y a eu aucune AG consultative de la base ni à Oran ni dans les autres wilayas de l'Ouest pour ce mouvement de grève. On ne doit pas décider une grève nationale avec toutes les répercussions que ceci signifie sur la santé des malades du jour au lendemain sans consulter les premiers concernés. On adhère complètement aux revendications défendues par le SAP, mais on dénonce l'absence de communication et le manque de clarté au sein de ce syndicat», soulignent nos interlocuteurs.

ZEMSK a écrit:

Qu'est ce qu'un connard ???
voilà:
http://fr.news.yahoo.com/afp/20080216/tod-emirats-insolite-7f81b96_1.html

awah ce mot matou alih el rejal !!! mais je dirai plutot ke ç notre équipe nationale de football le 1er ki vient prend les 3pts é repart chez lui kima kahwét 3ami mouh!!

M Freud a écrit:

... Je devrai admetre que Zemsk est un grand chasseur de cons et d'idiots pour avoir denicher cette info...

Dr TcH|nX a écrit:

M Freud a écrit:

... Je devrai admetre que Zemsk est un grand chasseur de cons et d'idiots pour avoir denicher cette info...

aweh ZEMSK gentil !! ç vrai k'il ns tape sur les nerfs des fois losk'il efface nos messages d'ailleurs parlons des messages je crois ke j'avé bcp plus ke ce nombre mais che po ou ils sont parti?

Saha le vampire t'etait ou ??
t'a explose le couvercle de ton cercueille ! C'est quoi ce b****l ! *Regarde toi batte cloutée à la main
t'etait ou ? surement en vacances endormi
qui t'a reveillé ??

M Freud a écrit:

Saha le vampire t'etait ou ??
t'a explose le couvercle de ton cercueille ! C'est quoi ce b****l ! *Regarde toi batte cloutée à la main
t'etait ou ? surement en vacances endormi
qui t'a reveillé ??

J'été caché do le sanctuaire pke ici au forum yavé trop de gens ki n'arréte pa de mentir !! andehoum koulech !!! mé sa va étre un bon retour !!! yezhina el dr bago !!

ZEMSK a écrit:

Qu'est ce qu'un connard ???
voilà:
http://fr.news.yahoo.com/afp/20080216/tod-emirats-insolite-7f81b96_1.html

n'importe quoi !!

vampiros a écrit:

... mé sa va étre un bon retour !!! yezhina el dr bago !!

Saha _SOUFAGE_ rak dayer succés ...

Dr TcH|nX a écrit:

vampiros a écrit:

... mé sa va étre un bon retour !!! yezhina el dr bago !!

Saha _SOUFAGE_ rak dayer succés ...

mais machi kima nta rak khchiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiine

Le «Lider Maximo» a renoncé au pouvoir et s'en va. L'information du départ ou la retraite politique de Fidel Castro, qui a régné sans partage sur Cuba depuis son arrivée au pouvoir à La Havane, en 1959, à la tête des «barbudos», a résonné comme un tonnerre dans plusieurs capitales. A commencer par Washington où les officiels estiment que cette nouvelle ne peut-être politiquement acceptable que si les dirigeants cubains se décident à renoncer au communisme et reprennent le chemin de «la démocratie». Bien sûr, il y a eu des applaudissements à Miami et en Floride où réside l'essentiel de l'opposition cubaine. Pour autant, le retrait de toute vie politique de Castro n'a pas été totalement «assimilé» par de nombreuses capitales dans le monde. En Europe, on suit avec attention les événements à Cuba, mais surtout ce qui va se passer avec le départ d'un homme, qui a failli provoquer une troisième guerre mondiale, en réponse à l'épisode de «la baie des cochons» (1961).

Le 22 octobre 1962, le Président John F. Kennedy annonce un blocus naval pour obtenir le retrait des missiles nucléaires soviétiques de l'île. Le Président russe Nikita Khrouchtchev cédera, le 28, contre la promesse américaine de ne pas envahir Cuba. La guerre froide avait, en fait, trouvé ses racines et son ferment dans le conflit américano-soviétique: les Russes soutenant la petite île qui venait de proclamer le marxisme-léninisme (décembre 1961), les Américains devenant franchement inquiets de la présence, à quelques miles de leurs côtes, d'un Etat «politiquement dangereux».

Et c'est à cette époque que va commencer le plus long embargo économique et diplomatique, jamais décrété jusqu'à présent contre un pays par les Etats-Unis. L'embargo économique qui sanctionne Cuba, depuis les années 60, va renforcer politiquement le régime de Fidel Castro et lui donner l'assise populaire nécessaire pour devenir, en 1976, presque président à vie. Jusqu'à sa maladie de l'année dernière qui va le contraindre à se faire remplacer, à la tête de l'Etat cubain, par son frère Raul Ruz. L'assemblée parlementaire devra, dans quelques semaines, se réunir pour trouver un nouveau président qui sera ensuite élu. En attendant, le départ politique du «Lider Maximo», celui qui a fait tant rêver, en Amérique Latine et en Afrique, des générations révolutionnaires, est diversement interprété dans les milieux intellectuels et universitaires. Avec sa longue barbe de révolutionnaire et sa carrure déhanchée, il aura surtout nourri de vifs débats au sein des milieux révolutionnaires, en adoptant une attitude ferme, mais économiquement ruineuse, face aux Etats-Unis. Car, quand le peuple cubain a été confronté à la dure réalité de la famine, avec les vagues successives de «boat people» qui s'en sont suivies, dans les années 70, le monde entier avait brusquement découvert que la révolution de la Sierra Madre n'a pas enfanté l'Eldorado des révolutionnaires, mais la cruelle réalité d'un monde divisé entre ceux qui en ont, et ceux qui n'ont rien. Hemingway qui aimait tant flâner sur les boulevards de La Havane, savait mieux que quiconque que toute révolution a ses revers. Pour Cuba, c'est de vivre le 3e millénaire au rythme des années 50. Le départ de Castro va-t-il changer la donne dans cette île de tous les enjeux?

il était temps qu'il s'en aille celui là ! c'est trop

nadia009 a écrit:

il était temps qu'il s'en aille celui là ! c'est trop

pourquoi tu dis ca de l'oncle maximo c mon dictateur préferé aprés Staline et Franco

oui , mais rien ne perdure !

Dictateur... un mot créé de toutes pieces...

Ça gaze encore entre Moscou et Alger

Crise entre Alger et Moscou ? Contrairement à ce que le suggéraient des analyses entièrement centrées sur la question des Mig 29, ce n'est pas de crise qu'il a été question au cours des entretiens entre Abdelaziz Bouteflika et Vladimir Poutine, mais des moyens de renforcer les liens économiques entre la Russie et l'Algérie. Les deux hommes ont fait des déclarations sur le gaz qui vont être interprétées par la presse européenne comme une relance du projet de l'Opep gazière. Les échanges, cordiaux, entre les deux hommes n'ont pas évité certains aspects qui peuvent paraître délicats. Pourquoi les échanges commerciaux entre les deux pays ont été plus faibles en 2007 qu'en 2006, s'est demandé le président Bouteflika. Réponse: torts partagés. «Il doit y avoir des défauts chez nous tout comme chez vous et il nous faut savoir pourquoi», a-t-il déclaré en estimant que l'accord d'association conclu entre l'Algérie et l'Union européenne n'est pas en cause. Mais Poutine pense un peu que c'est le cas en souhaitant que les entreprises russes puissent jouir en Algérie des mêmes conditions que les compagnies européennes. «En 2012, l'Algérie entrera dans une zone de libre-échange avec l'Union européenne. Nous ne voudrions pas que nos entreprises se retrouvent dans une situation difficile sur votre marché». Comme s'il s'agissait de nier une discrimination à l'égard des entreprises russes évoquées dans la presse locale, le président algérien a souligné que les marchés passent globalement par les appels d'offres internationaux et que l'essentiel dépend de la qualité de l'offre des entreprises russes. Il a indiqué que la société de chemins de fer russes RZD était sur le point de remporter le marché de la construction de voies ferrées et qu'il n'y a pas d'obstacles techniques ou juridiques à la participation d'entreprises russes à ce projet, le seul problème est celui du prix. Mais que de manière générale il revient aux entreprises russes de trouver les «créneaux de partenariat» avec l'Algérie.

La «leçon de l'Opep»


Si aucune indication n'a été donnée sur l'affaire des Mig - signe que l'affaire était réglée avant la visite -, le domaine de l'énergie et de la coopération dans ce domaine a largement dominé la visite. Les échanges entre les deux chefs d'Etat devraient même susciter quelques inquiétudes chez les Européens. Abdelaziz Bouteflika, dans une interview à l'agence russe Itar-Tass, a prôné une coopération plus grande dans le domaine. «Il est évident que des pays comme la Russie, le Qatar et l'Algérie jouent un rôle important sur les marchés gaziers et doivent plus coordonner leurs activités».

Quid de l'Opep du Gaz ? La réponse de Bouteflika pourrait être décodée ainsi: pour l'instant, non, mais quand les conditions d'une telle organisation seront réunies, elle sera faite. Selon lui, il ne faut pas «oublier la leçon» de la création du cartel pétrolier. «La défense des intérêts des pays membres de l'Opep (...) a été à l'origine de la création de l'Opep en 1960.

Cette leçon ne doit être oubliée». Mais cette Opep gazière ne peut exister que si un marché semblable à celui du pétrole existe. Ce n'est pas encore le cas mais la tendance existe. «L'augmentation de la part du GNL (gaz naturel liquéfié) dans le commerce international du gaz et l'intensification de l'unification des réseaux de distribution préparent le terrain pour créer un marché gazier semblable à celui du pétrole».

En attendant l'Opep gazière, il suggère d'améliorer le fonctionnement du Forum des pays exportateurs de gaz (FPEG) qui «doit jouer un rôle plus actif dans l'échange d'informations entre ses participants». Des recommandations dans ce sens doivent être présentées lors de la prochaine réunion du FPEG prévue à Moscou cet été. Le président russe Vladimir Poutine est pratiquement sur la même longueur d'onde en soulignant que «l'Algérie est le quatrième exportateur mondial de gaz. La Russie est l'un des plus importants. Il est extrêmement important d'être en contact sur les problèmes énergétiques, d'autant plus que cette année l'Algérie est présidente de l'Opep». Chakib Khelil, présenté comme peu favorable aux Russes dans certains journaux moscovite, a indiqué que Sonatrach souhaite «avoir des activités en Russie» tout comme les sociétés russes en Algérie qui, précise-t-il, ont eu plus de 500 millions de dollars de contrats pour la construction d'oléoducs et de gazoducs. Ces sociétés ont fait des investissements de 60 millions de dollars et ont découvert deux gisements de pétrole qui vont produire plus de 60.000 barils/jour en 2011, ce qui est un investissement très rentable.

Khelil souligne qu'il n'existe pas de sociétés algériennes travaillant en Russie. Voilà qui s'appelle retourner le reproche aux Russes. Sont-ils prêts à accepter Sonatrach chez eux. Le monopole Gazprom, lui, va ouvrir son bureau en Algérie. Des échanges d'actifs entre les deux entreprises pourraient sceller une coopération qui semblait avoir été remise au placard après la fin du mémorandum d'entente.